III. ABBAYE DE BALERNE

Sources

  1. *."Le cartulaire de l’abbaye cistercienne de Balerne (Stein, no 330)",
    Revue Mabillon, 2015, t. XXVI (LXXXVII), p. 282-297.

Commentaire, → section I.

  1. *. "Le diplôme de Frédéric Barberousse en faveur de l’abbaye de Balerne [1157]",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1978, t. XXIX, p. 314-323, ill.

Commentaire, → section I.

  1. *. "Le pseudo petit cartulaire de l’abbaye de Buillon [vers 1170-1180]",
    Mélanges... Anselme Dimier, art. no 179, t. II, vol. 4, Pupillin, 1984, p. 547-590, ill.

Commentaire, → section I.

  1. *. "Une pancarte de Thierry, archevêque de Besançon, pour l’abbaye de Buillon [1189]",
    Mélanges... Anselme Dimier, art. no 178, t. II, vol. 4, Pupillin, 1984, p. 521-546, ill.

Commentaire, → section I.

  1. *. "La note ‘Ex archivio Balernensi’ des papiers [1136-1484] de P.-F. Chifflet (Bibl. nat., Baluze, ms. 142)",
    Mélanges… Anselme Dimier, art. no 177, t. II, vol. 4, Pupillin, 1984, p. 505-519.

Commentaire, → section I.

  1. "Abbaye de Balerne, sources, travaux, bibliographie (1938-2017), bilans et perspectives",
    Travaux de la Société d’émulation du Jura, 2017, p. 187-223.

Commentaire, → section I.

  1. "Abbaye de Balerne, répertoire du fonds Benoît Chauvin",
    Travaux de la Société d’émulation du Jura, 2017, p. 224-226.

Commentaire, → section I.

 

Histoire

  1. "La fondation de l’abbaye de Balerne",
    Travaux... de la Société d’émulation du Jura, 1965-1969, p. 299-308.

A quand remonte la fondation de Balerne ? Une charte attribuée à 1108 à la suite d’un effacement partiel de son millésime est en réalité postérieure à 1180. Inconnue des historiens franc-comtois avant la publication des cartulaires de Molesme au début du siècle, la Concordia Molismensis rédigée par l’abbé Robert en 1110 pour régir les rapports entre Aulps et Balerne est le plus ancien document prouvant l’existence de l’abbaye, créée comme relais entre Bourgogne et Savoie à l’aube de la première décennie du XIIe s. Un travail... de jeunesse, refondu et élargi par la suite (→ no 150).

  1. *. "Le rôle de l’abbaye de Balerne dans les débuts de Bonmont",
    Revue d’histoire ecclésiastique suisse, 1988, t. LXXXII, p. 143-158.

Mise au point sur la dépendance de Bonmont vis-à-vis de Balerne révélée par un document d’Innocent II. Ce lien date probablement des années 1120-24 et doit être mis en relation avec la dislocation de la congrégation de Molesme de part et d’autre du Jura face à l’attraction croissante de l’ordre cistercien. Intervenant après l’adhésion de Bonmont à Cîteaux dans la lignée claravallienne, sa rupture en 1132 résulte des hésitations de Balerne à s’engager dans la même voie, ce qu’elle ne réalisera qu’en 1136 (→ no 150).

  1. *. "Les débuts de l’abbaye de Balerne (1100?-1138), ou l’autre chemin de Molesme à Cîteaux", Unanimité et diversité cisterciennes, Filiations, réseaux, relectures du XIIe au XVIIe siècle. Actes du 4e colloque international du C.E.R.C.O.R., Dijon, 23-25 septembre 1998, Saint-Étienne, 2000, p. 233-262, ill.

Exemplaire à tous points de vue est l’histoire de Balerne dans son long cheminement vers la voie étroite. D’abord simple relais entre Molesme et Aulps, érigée en abbaye au début de la première décennie du XIIe s., elle reçoit en 1110 de Robert, fondateur de Cîteaux, un texte préfigurant la Charte de charité et destiné à régler ses rapports avec le monastère savoyard. Avant 1123, elle fonde une filiale à Bonmont (→ no 69), à mi-chemin d’Aulps ; cette année-là, elle absorbe la petite maison de Migette (→ no 47), née du mouvement érémitique. En 1124, Calixte II rend Balerne indépendante d’Aulps et lui confirme ses usages « selon la règle de saint Benoît à l’exemple des cisterciens ». Mais l’obligation pratique d’entrer en possession de l’église paroissiale de Cognos acquise avec peine puis confirmée en 1130 — en contradiction avec les règlements cisterciens (→ no 32) — entraîne une scission au sein de la communauté. Les tenants de la ligne dure « ayant choisi de vivre selon les usages des frères de Cîteaux » s’installent à Bonmont et adhèrent à l’ordre cistercien en juillet 1131 ; en février suivant, Innocent II les dégage de la tutelle de Balerne et les place dans la filiation claravallienne. Après un temps d’hésitation, le prestige grandissant et les passages de saint Bernard en Comté, le puissant attrait spirituel de Cîteaux, la disparition de l’abbé Aimon et, vraisemblablement, un intérêt matériel bien compris, bref un contexte puissant font basculer les ultimes résistances des tenants de la ligne traditionnelle : l’abbé de Clairvaux peut envoyer son disciple Burchard (→ no 74) préparer une agrégation à l’ordre, officialisée en mai 1136 ; celle d’Aulps suivra un mois plus tard. Balerne renonce en 1138 à l’église de Cognos et installe, en un site admirablement cistercien, une maison-fille à Buillon (→ no 47), qui transforme Migette en une simple grange. En somme, un dossier qui ressemble d’une certaine manière à ceux de Molesme-Cîteaux et Fontmorigny-Les Dunes (→ no 123), mais dont la documentation exceptionnellement riche permet de bien fixer les étapes significatives.

  1. *. "Saint Bernard et l’abbaye de Balerne",
    Travaux... de la Société d’émulation du Jura, 1965-1969, p. 227-264.

Le rôle de l’abbé de Clairvaux dans l’affiliation de Balerne à l’ordre de Cîteaux a été repris de manière élargie depuis (→ no 150). La place de son disciple Burchard a été précisée (→ no 74), tout comme le plan bernardin de l’église et le plan général des lieux réguliers (→ no 38). L’intervention de saint Bernard dans le conflit avec les bénédictins de Baume au sujet de la grange de Glénon a été également revue après coup (→ no 33).

  1. *. "Un disciple méconnu de saint Bernard, Burchard, abbé de Balerne puis de Bellevaux (vers 1100-†1164)",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1989, t. XL, p. 5-68.

Né sans doute vers 1100, moine de Clairvaux et disciple de saint Bernard dès 1125 environ, Burchard est placé en 1136 à la tête de l’abbaye bénédictine de Balerne lors de son affiliation à l’ordre de Cîteaux. Il y reste 22 ans au cours desquels il entreprend (ou poursuit ?) la construction d’un monastère, notamment d’une église à plan bernardin, met en place un temporel d’essence cistercienne, crée une filiale à Buillon et favorise la naissance d’une communauté féminine à Ounans (→ no 175). L’année de son passage à Bellevaux peut désormais être fixée à 1158. Il doit gérer cette seconde abbaye lors des débuts du schisme victorin, jusqu’au 19 avril 1164, jour de son décès. Hormis quelques miettes bernardines, son héritage littéraire avait entièrement disparu. On a pu retrouver les titres de quelques-unes de ses œuvres (→ no 45). L’édition de son Apologia de barbis dans la Continuatio Medievalis du Corpus Christianorum constitue un événement majeur. En annexes, édition critique d’une trentaine d’actes où il apparaît comme acteur ou est cité comme témoin. Bibliographie. Liste de ses ouvrages connus.

  1. *. "Un cas exemplaire de l’esprit cistercien primitif et de son évolution : l’abbaye de Balerne et la propriété de l’église de Cognos au XIIe siècle",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1980, t. XXXI, p. 131-162.

Le territoire paroissial de Cognos englobait Balerne, à trois kilomètres de là, et la majeure partie du vaste plateau de Châtelneuf. Deux douzaines de documents ou d’extraits publiés en annexe montrent le rôle joué par cette église dans l’histoire de cette maison. Sollicitée par les moines, son entrée dans le temporel abbatial illustre les débuts mal connus du monastère alors bénédictin. Une affiliation à l’ordre de Cîteaux en 1136 et l’adoption d’usages interdisant une telle propriété conduisent l’abbaye à s’en défaire au profit des chanoines de Saint-Paul de Besançon. Mais Balerne profite de la fin du schisme victorin pour récupérer, avec le soutien d’Alexandre III, de ses légats et à l’issue de cinq ans de procédures à rebondissements, cette église et les droits qui y étaient attachés, indispensables pour le développement de plusieurs de ses granges.

  1. "Une nouvelle liste des abbés de Balerne au XIIe siècle",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1971, t. XXII, p. 105-125.

A partir des archives disponibles, étude comparative critique de la dizaine de listes abbatiales de Balerne proposées çà et là. Nouvelles données en nets progrès par rapport à la Gallia Christiana. Article élargi et corrigé par le suivant (→ no 114).

  1. "Les abbés de Balerne au XIIe s. Corrections et additions",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1993, t. XLIV, p. 452-457.

Reprise de l’article précédent, justifiée par la découverte d’une vingtaine d’informations nouvelles glanées principalement dans des fonds extérieurs à celui de Balerne. Si les abbatiats bénédictins antérieurs à 1136 restent toujours mal circonscrits, les abbatiats cisterciens couvrent désormais la totalité des deux autres tiers du siècle, hormis deux brèves périodes de 1165 à 1169 et de 1189 à 1193-95.

  1. "Les décisions des chapitres généraux de l’ordre cistercien concernant l’abbaye de Balerne aux XIIe et XIIIe siècles",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1972, t. XXIII, p. 160-170.

Ce qu’apportent à l’histoire de Balerne, les 22 statuta connus promulgués pour cette abbaye par le gouvernement de l’ordre entre 1192 et 1281. Ceux des années 1190-1210 corrigent certaines entorses aux usages cisterciens et défendent le monastère contre plusieurs seigneurs locaux. Ceux des deux premiers tiers du XIIIe s. confient à ses abbés des missions de médiation pour apaiser des conflits entre diverses maisons de l’ordre. Ceux des années 1260-80 révèlent des difficultés financières.

  1. *. "A propos de Jacques de La Chétardie, abbé commendataire de Balerne (1687-1721)",
    Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 1989, p. 268-273.

Corrige quelques erreurs d’interprétation et complète les données fournies sur cet abbé par J. Baudet dans la même revue (1988, p. 22-59). Il n’y eut jamais qu’un seul Jacques de La Chétardie, abbé de Balerne, entre 1687 et 1721, et non trois. En annexe, édition de sa lettre de démission adressée au roi, le 7 septembre 1721. Dont acte de J. Baudet dans "Note rectificative à propos de Jacques de La Chétardie", ib., 1989, p. 274-275.

 

Temporel - Economie

  1. "Un exemple de microtoponymie monastique : le lieu-dit ‘Balerne’ dans les cadastres jurassiens",
    - Travaux... de la Société d’émulation du Jura, 1970-1972, p. 97-143, ill.
    - Revue Mabillon, oct.-déc. 1973, no 254, t. LVIII, p. 189-237, ill.

Plus ou moins déformé, le toponyme Balerne se rencontre dans les arpentements d’Ancien Régime et les cadastres napoléoniens de douze villes ou villages du Jura, sur les plateaux autour du monastère comme sur le rebord de la montagne entre Salins et Lons-le-Saunier. Les enquêtes menées ont prouvé que tous résultent de fonds ayant appartenu à l’abbaye. Carte et répertoire critique des documents utilisés. Un treizième lieu-dit a été retrouvé après coup sur la commune d’Ounans (→ no 74).

  1. "Abbaye de Balerne, site unique, hydraulique élémentaire",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 2020, t. LXXI, p. 155-168, ill.

Commentaire, → section IV.

  1. *. Histoire de la terre de Glénon, t. I (967-1445) : le hameau de Glénon et la grange de l’abbaye cistercienne de Balerne, Dijon, Faculté des lettres, maîtrise, 1969, 308 p. ms., ill.

Autre essai de jeunesse, repris après un temps de digestion en deux articles parus en 1980 (→ no 33) et 1990 (→ no 82).

  1. *. "De la ‘villa carolingienne’ à la grange cistercienne : le cas de la terre de Glénon (Arbois, Jura), du milieu du Xe à la fin du XIIe siècle",
    Villa - curtis - grangia. Economie rurale entre Loire et Rhin, de l’époque gallo-romaine au XII-XIIIe siècle. [Actes du] XVIe colloque d’historiens français et allemands, Xanten, 28 septembre-1er octobre 1980, München-Zürich, 1982, p. 164-184, ill. (Beihefte der Francia, 11).

Résumé et corrections de la première partie du mémoire de maîtrise précité (→ no 3). Les sources permettent d’entrevoir les grandes lignes de l’histoire de cette terre, proche d’Arbois, petite villa des comtes de Bourgogne au milieu du Xe s., propriété de Cluny par son prieuré de Vaux-sur-Poligny au XIe, et sur laquelle les cisterciens de Balerne créent une grange dite de Vauxy avant 1143. Carte. Intervention de Bernard de Clairvaux, et peut-être de Pierre le Vénérable, pour résoudre un conflit avec les moines de Baume. Transformation de la grange en cellier peu avant la fin du XIIe avec octroi de privilèges spéciaux par les comtes, en dépit des conflits que cette concurrence suscite avec les vignerons d’Arbois et les tracas provoqués par les bénédictins. Regeste d’une vingtaine d’actes et publication des inédits.

  1. *. "Contribution à l’histoire du vignoble d’Arbois : le cellier de Glénon et le temporel de l’abbaye cistercienne de Balerne (fin XIIe-milieu XIVe s.)",
    L’Eglise, la vigne et le vin dans le massif jurassien. Actes de la Table ronde, Lons-le-Saunier, avril 1990, Lons-le-Saunier, 1991, p. 11-41, ill.

Résumé et corrections de la deuxième partie du même mémoire de maîtrise (→ no 3), élargi à l’ensemble du temporel arboisien de Balerne. Si les cisterciens ont joué, malgré des oppositions, un rôle important dans l’essor de ce vignoble pendant un demi-siècle (1170-1220/30), ils ont bien vite diversifié leurs sources de revenus avant de devenir de simples rentiers de la terre (1270/80-1340). Ils en resteront seigneurs jusqu’en 1789. Suite de l’édition d’un cartulaire reconstitué de Glénon, environ 80 actes des années 1191 à 1340.

  1. Domaine de Grange Grillard (Arbois, Jura),
    - Arbois1, 1971, [8 p.], ill.
    - Les Nouvelles Henri Maire2, [automne 1984], no 2, p. 2-3.

Commentaire, → section X.

  1. *. Histoire de la Grange Grillard, t. I, Des origines à la fin de la Révolution (1543-1796),
    [Beire-le-Châtel], 1977, 171 p. ms. inédit.

Commentaire, → section X.

  1. *. "Notes et documents pour servir à l’histoire du sel de Lons-le-Saunier au Moyen-Age : les archives de l’abbaye de Balerne (1170-1267)",
    Travaux… de la Société d’émulation du Jura, 1975-1976, p. 33-126, ill.

Commentaire, → section IV.

  1. *. "La grange d’Els, dépendance de l’abbaye cistercienne de Balerne aux XIIe et XIIIe siècles",
    Actes du 99e Congrès national des Sociétés savantes, Besançon, 1974, Section de philologie et d’histoire jusqu’à 1610, t. II, Paris, 1977, p. 99-112.

Jusqu’alors non localisée, la grange d’Els correspond au village voisin de Loulle, comme permet de l’apprendre la forme latinisée Olla utilisée dans les documents pontificaux. A partir d’une probable clairière, les cisterciens accroissent peu à peu ce domaine, au prix de quelques difficultés. Ils le lotissent au XIIIe s. puis, après association en paréage avec les Chalon en 1285, ne conservent comme réserve que la petite ferme de la Marche.

  1. *. "Les abbayes de Balerne et de Mont-Sainte-Marie et la grange de Montorge au début du XIIIe  siècle",
    Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1977, t. XXVIII, p. 268-305, ill.

Une exploitation des inventaires des titres de ces deux monastères puis la découverte de six actes originaux dans une collection privée chez les descendants d’acquéreurs de biens nationaux, ont rendu possible cette mise au point critique sur Montorge, aujourd’hui clairière habitée de la renommée forêt de la Joux. Balerne y établit une grange avant 1181. Sa localisation trop excentrée et son altitude élevée poussent l’abbaye à s’en défaire au profit de celle de Mont-Sainte-Marie qui peut ainsi renforcer son axe de circulation entre Salins et le haut Jura ; en 1226, l’abbé de Clairvaux approuve cette vente. Quinze ans plus tard, sous prétexte de lésion, Balerne obtient un dédommagement supplémentaire, à l’approbation de l’abbé de La Ferté, représentant de celui de Cîteaux alors emprisonné dans les geôles impériales. Corrections apportées aux analyses fautives des auteurs des XVIIIe-XXe s. Edition d’une quinzaine d’actes. Carte. Index.

  1. *. "Chargé d’histoire, le lieu-dit ‘A la Balâne’ ne doit pas disparaître du cadastre de Pupillin",
    Les Dépêches, éd. Jura, 6-7, 12, 24 et 25 janv. 1973, ill.

Orthographié généralement Balerne, ce lieu-dit est attesté dans les archives de Pupillin et d’Arbois de manière régulière depuis le début du XVIe s. Il s’explique par la propriété qu’y détint l’abbaye homonyme dès avant 1199. Les vignes, les pâtures ou les friches qu’on y rencontre au gré des époques reflètent fidèlement les grandes périodes de l’histoire rurale franc-comtoise. Excentré par rapport au village et réduit à un demi-hectare, il importait qu’il ne disparût pas à la suite de la remise en ordre cadastrale de 1974. Il a été rétabli sous son appellation exacte et selon ses confins du XVIIIe s.

 

Archéologie - Art

  1. *. "Les plans de l’église et de l’abbaye de Balerne révélés par la sécheresse de 1976",
    Mélanges… Anselme Dimier, art. no 210, t. III, vol. 5, Pupillin, 1982, p. 265-290, ill.

Commentaire, → section V.

  1. *. "Un devant d’autel de l’église de Balerne",
    - Ney, bulletin municipal, juil. 1986, no 15, [4 p.], ill.
    - Cîteaux, Commentarii Cistercienses, 1986, t. XXXVII, p. 291-293, ill.

Commentaire, → section VI.